L'incroyable vient de se produire aux États-Unis. Le président sortant Joe Biden, le Président des États-Unis, renonce à sa candidature pour briguer un nouveau mandat lors des prochaines élections présidentielles. Il vient de rendre son tablier dans une déclaration faite dimanche aux Américains pour, dit-il, le bien du pays.
Aux États-Unis, la pression est montée ces derniers sur le président Joe Biden, lui demandant de se retirer à la présidentielle. Mais le Président a insisté pour se maintenir. Dans la foule, Joe Biden a choisi sa vice-Présidente Kamala Harris, qui devrait être investie par le parti démocrate.
Mais les membres du parti Démocrate devraient décider s'ils investissent Kamala Harris. C'est à travers cette note adressée à l'Amérique, publiée sur son compte X appelé autrefois Twitter, que Joe Biden a renoncé à sa candidature.
De nombreux observateurs et analystes américains trouvent le dirigeant des États-Unis affaibli et inapte à assurer dans les prochaines années les fonctions du Président. Beaucoup le soupçonnent d'avoir la maladie de Parkinson. D'autres ont appelé le Président Biden à retirer sa candidature.
Ce dimanche, le tout puissant Président des États-Unis a finalement renoncé à la course à la présidentielle contre l'ancien Président Donald Trump, qui a échappé il y a une semaine à une tentative d'assassinat. À la fin de sa campagne, Trump a déclaré qu'il a pris une balle pour la démocratie.
Selon le Washington Post, l'ancien Président des États-Unis Barack Obama aurait confié à ses proches penser que son ancien vice-président devait « sérieusement évaluer la viabilité de sa candidature ». Le constat est le même chez le chef de la majorité au Sénat, Chuck Schumer. D'autres personnalités se sont invitées au sujet, comme l'acteur George Clooney.
Il a déclaré le 10 juillet dernier que pour le bien du pays, Joe Biden doit retirer sa candidature. Il avait passé il y a quelques semaines auparavant du temps avec le président Biden qui aujourd'hui est âgé de 81 ans.Dans une information rapportée par le New York Times, un spécialiste de Parkinson se serait rendu à huit reprises à la Maison Blanche.